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Opération particulière : versification des comportements sécuritaires en car et autour du car afin de les graver en tête des élèves

Opération particulière : versification des comportements sécuritaires en car et autour du car afin de les graver en tête des élèves

Description

Versification des comportements sécuritaires en car

Dès le CM2, puis en  sixième au collège,  les élèves voient leur trajet (piéton, en car scolaire, à bicyclette) vers le lieu scolaire et retour s’allonger nettement.
L’âge de l’élève augmentant, les parents l’accompagnent beaucoup moins souvent.
Les dangers de la route et de la rue doivent être toujours présents à l’esprit de ces jeunes gens.

Les premier et second trimestre de 6°, lorsque l’enfant est impressionné par cet univers nouveau, mais en a déjà l’expérience, sont aussi des moments favorables pour agir.

* Il faut donc

– créer des réflexes dans les têtes, ce qui n’est pas une mince affaire

– faire travailler sur le sujet, marteler les mots afin qu’ils deviennent règles intangibles.

– Créer des réflexes par la mémoire : nous  avons tous au collège appris des textes en vers, des classiques du XVII° siècle, des poèmes de Baudelaire,  Rimbaud, Hugo, etc…

On constate après coup que ce qui fût appris par coeur et versifié reste en tête, par lambeaux, bien plus que la  prose.

Il ya dans les textes en vers un rythme répété qui grave en tête les mots et les phrases.

Mettre en mémoire des impératifs, les répéter comme une litanie, graver en tête des notions simples, peut donc se faire si le texte est rédigé en vers scandés , rythmés.

Certes, tout ne sera pas intégralement conservé, mais nous n’en demandons pas tant.

Simplement, quand nous aurons à 10 – 11 ou 12 ans ânonné et entendu quinze fois     « Rien ne sert de courir, il faut partir à point ». cela peut nous revenir en tête en chemin, et   nous inciter à partir plus tôt le lendemain.

1- Faire apprendre quatre lignes à tel groupe de quatre élèves, puis les quatre lignes suivantes, à un autre groupe, etc, afin que les divers groupes les récitent devant la classe.

On peut ensuite “tourner” : la semaine suivante, chaque groupe apprend la strophe suivante, et la récite.. bref, à la fin, chaque groupe et donc chaque élève a d’une part appris tout le texte, et d’autre part l’a entendu cinq à six fois en cinq à six semaines.

2- Faire apprendre et réciter par tous est un conditionnement, bien nécessaire, mais faire travailler sur le texte amène l’obligation d’une démarche personnelle.

Il est possible de faire faire  quelques semaines plus tard un exercice écrit « Commentez ce texte. Vous êtes vous trouvé dans ces situations ? Expliquez, à chaque recommandation, pourquoi elle est donnée. »

Voici la première des sept strophes (copyright Trans’com) qui forment ce texte, avec références fréquentes à La Fontaine. Demandez nous les six strophes suivantes, pour en juger, ce qui ne vous engage en rien, et nous verrons ensemble à quelles conditions les mettre à votre disposition.

 

A la manière de La Fontaine : L’élève et le car                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 

1- De chez toi à l’arrêt, marche bien calmement

Pour éviter les heurts ou tout autre accident.

La Fontaine disait – et il voyait fort loin – :

« Rien ne sert de courir, il faut partir à point ».

 

  • TARIF : à convenir selon l’ampleur de l’opération.

 

* Il n’est pas possible de donner un prix sans connaître le nombre d’élèves touchés, l’éventuelle mise en forme d’un questionnaire, etc…

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